Article publié par RTS Info au sujet d’une thérapie par la transplantation de selles et de son microbiote.
On relaye sur le blog Athletica l’article publié par RTS Info au sujet d’une thérapie par la transplantation de selles et de son microbiote. Le taux de succès et de guérison est très fort. Par cet exemple de projet on vise à montrer l’impact tellement important du microbiote sur la santé.
Le système digestif est un des deux axes principaux de la méthode de santé Athletica (l’autre étant le système nerveux autonome). Le digestif est aussi appelé le deuxième cerveau tant il a des neurones et par ses connections avec l’ensemble du système nerveux. Il est habité par des milliards de petites bêtes qui nous squattent: le microbiote. Et elles nous le rendent bien car notre bon fonctionnement de santé en dépend. En optimisant son microbiote, on améliore sa santé et sa performance. Le chiropraticien et nutritionniste Dr Michel Golay fondateur du centre de santé Athletica à Champel Genève dit “qu’on ne mange pas directement pour soi-même, mais pour son microbiote, qui lui nous nourrit”. Afin de préserver sa santé, il faut le garder en équilibre, en lui garantissant ses besoins nutritifs. Avec une alimentation adaptée, on lui apporte une diversité de fibres appelés prébiotiques (dont il existe 5 grandes familles). On peut aussi consommer des probiotiques qui sont des bactéries qui viennent rejoindre leurs collègues dans le microbiote. L’objectif de santé est de favoriser le développement de bonnes bactéries et de limiter les mauvaises, respectivement les bacteroidetes et les firmicutes, ainsi que favoriser la biodiversité de la flore intestinale (autre nom donné au jardin microbiote).
Les allusions à la flore, au jardin, au terrain, etc. sont bien justifiées car la biodiversité du microbiote dépend de celle du grand environnement, de la qualité des aliments et de leur valeur nutritive. Vous trouverez plusieurs articles sur le blog Athletica à propos de ce lien et du microbiote : le projet jardin Athletica, perte de biodiversité du microbiote, …
“On ne mange pas directement pour soi-même, mais pour son microbiote, qui lui nous nourrit”.